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Une remarquable étude a été réalisée en 2014 en Grande-Bretagne par la London School of Economics - une institution internationalement réputée pour son expertise et l’excellence de son enseignement - au sujet des moins-values immobilières causées par les parcs éoliens.

Son intérêt est évidemment majeur dans la mesure où elle démontre scientifiquement - il n’y a ni prédiction, ni subjectivité, seulement des constats - le dommage patrimonial que subissent les propriétaires d’immeubles situés à proximité d’éoliennes. Au vu de l’hostilité constante des riverains dans notre pays, il ne fait à mon sens aucun doute que des conclusions identiques seraient tirées ici également.

Le dernier arrêt de la Cour d'Appel de Rennes (12 mars 2024) constitue la « pièce manquante ». L’étude anglaise démontrait la moins-value ; la Cour d'Appel de Rennes reconnaît que ce préjudice patrimonial doit donner lieu à réparation.

Cette étude date de 2014 mais peut certainement s’appliquer à la situation de 2024 où les éoliennes sont encore plus hautes, plus écrasantes, plus proches des habitations et plus bruyantes.

lire l'étude anglaise :
>> Etude anglaise 2014

Lire l'arrêt de la Cour d'Appel de Rennes du 12 mars 2024
>> Arrêt Cour Appel Rennes 120324