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En Wallonie, les émissions atmosphériques de gaz à effet de serre (GES), par secteur d’activité sont :

ENR alternatives

http://etat.environnement.wallonie.be/contents/indicatorsheets/AIR%201.html#

Le secteur de l’énergie ne participe que de 8,5 % pour la production de GES en Wallonie !

Or, le Gouvernement wallon raisonne et agit comme si le secteur de l’énergie représentait la source majeure de GES et, en conséquence, promeut le déploiement massif de l’éolien comme « planche de salut »… un déploiement très coûteux et environnementalement désastreux ! 

Une véritable politique climatique devrait concentrer ses efforts sur les sources responsables de la plus grande part d’émission de GES comme l’industrie, le transport routier, le résidentiel et l’agriculture. Mais nous constatons que pour ces secteurs, les actions du Gouvernement sont assez frileuses.

Évidemment, produire de l’énergie « verte », parce qu’elle est subsidiée, RAPPORTE DES SOUS, et même beaucoup semblerait-il. Tout le monde veut sa part du gâteau : les promoteurs, les communes, les intercommunales, les magasins comme Colruyt, les citoyens coopérateurs, …

Alors que mettre en place une politique de la mobilité et de l’isolation efficace, ÇA COÛTE DES SOUS…

Par ailleurs, il existe des énergies renouvelables plus intéressantes que l’énergie éolienne : la biomasse, la biométhanisation, l’hydroélectricité, la géothermie, … :

- elles respectent l’environnement et la ruralité,

- elles sont sans impacts sur la santé des riverains

- elles sont sans impacts sur le patrimoine paysager et immobilier

- elles procurent de l’emploi local et font appel à des savoir-faire régionaux.

L’asbl VdR-WmR vzw est convaincue que parallèlement à l’incitation à une consommation plus réfléchie, il faut stimuler la recherche et le développement d'alternatives viables et cela se fera dès le moment où les électeurs seront conscients qu'ils ne peuvent pas se reposer sur les lauriers-fantômes des sources d'énergie dites "fatales" (éolien et solaire)qui, finalement, donnent juste « bonne conscience ».