ACTUALITE
Région Wallonne Plan d’adaptation 2015-2022 31 janvier 2015 - Mise à jour du Plan d’Adaptation 2014-2021
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>> Région Wallonne Plan d’adaptation 2015-2022
En 2017, la croissance de la production énergétique mondiale a été dominée par les carburants fossiles, notamment par un retour en force du charbon. En conséquence, les émissions de CO2, qui étaient assez stables depuis trois ans, ont augmenté de 1,4 % l’année dernière. Il s’agit là des principaux constats du nouveau rapport annuel de l’Agence internationale de l’énergie (IEA) sur le statut mondial de l’énergie et des émissions de gaz carbonique, qui montre une dégradation de presque tous les indicateurs.La demande mondiale d’énergie au augmenté de 2,1 % en 2017 selon les estimations préliminaires de l’IEA, soit le double du taux de croissance enregistré en 2016. La demande a atteint 14 050 tonnes d’équivalent pétrole (TEP) en 2017, alors qu’elle n’était que de 10 035 TEP en 2000. Les carburants fossiles ont fourni 70 % de la production additionnelle en 2017, contre le quart pour les renouvelables et 2 % à peine pour le nucléaire. Les carburants fossiles représentent encore 81 % de la production mondiale d’électricité, un chiffre qui est stable depuis près de 30 ans.
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>> Les émissions mondiales de CO2 repartent à la hausse
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LETTRE D'INFORMATION : 26 mars 2019
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Bonjour,
23/03/2018
La Charente Maritime vient de voter à une écrasante majorité pour un moratoire éolien pour une durée de 2 ans qui permettra d'établir un nouveau schéma départemental éolien en Charente Maritime à 35 voix pour, 10 voix contre et 8 abstentions.
Le Conseil départemental s'est donc prononcé sur la question, alors que le territoire est concerné par la construction de plus de 400 éoliennes, notamment sur l’Aunis et en Vals de Saintonge.
Le président du Département Dominique Bussereau est farouchement opposé à la multiplication des parcs éoliens industriels, notamment dans l’estuaire de la Gironde.
De quoi satisfaire l’un des plus fervents opposants du département Michel Broncard, mais pas totalement. Ecoutez :
http://www.helenefm.com/?p=33221
Michel Broncard
michel.broncard@orange.fr
06 23 80 71 93
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Paris le 12 mars 2019
Communiqué de presse
Eolien terrestre. Rien ne va plus
Après les déclarations récentes sur France3 (1) et BFMTV (2) de Xavier Bertrand président de la région des Hauts de France, « Foutez- nous la paix avec les éoliennes, ça coûte les yeux de la tête, ça ne crée pas d'emploi et ça détruit nos paysages », c’est au tour de Dominique Bussereau Président du Conseil départemental de la Charente-Maritime et de l’Assemblée des départements de France d’exprimer dans le journal Sud-ouest (3) « son ras le bol » et de condamner les Promoteurs éoliens « qui sont des gens sans foi ni loi ». Il demande lui aussi « un moratoire de deux ans sur l’éolien terrestre en Charente maritime par le " risque sur nos paysages que fait courir la foultitude de projets éoliens ». Il évoque notamment un danger pour l’image touristique de la Charente-Maritime, un secteur économique clé pour le territoire.
La Fédération Environnement Durable (FED) qui regroupe 1387 associations alerte le gouvernement sur une montée rapide du refus de l’éolien terrestre sur l’ensemble du territoire. Elle constate que la situation devient incontrôlable socialement et rejaillit lourdement sur l’image de l’ensemble de la classe politique.
La FED estime que les actions des centaines de promoteurs qui écument les communes les unes après les autres sont contraires à l'intérêt général et qu’ils manipulent l’opinion en profitant depuis plus de 15 ans d’un système subventionné abusif qui détruit l’économie et les emplois
Elle demande aux responsables de l’état de se libérer de l’emprise des industriels de cette filière énergétique et de prendre des mesures par décret pour arrêter le plus vite possible le programme éolien terrestre français.
Contact presse
Jean-Louis Butré
contact@environnementdurable.net
06 80 99 38 08
Michel Broncard
michel.broncard@orange.fr
06 23 80 71 93
Cordialement
Jean-Louis Butré
Président
Fédération Environnement Durable
http://environnementdurable.net
contact@environnementdurable.net
tel 06 80 99 38 08
Le secrétaire d'État à la Mer du Nord Philippe De Backer planche actuellement sur une révision du plan d'aménagement des espaces marins en vue d'identifier dès 2020 de nouveaux espaces pour implanter des éoliennes, a-t-il indiqué mercredi à Ostende, à l'occasion des Belgian Offshore Days, un salon du secteur. Actuellement, le parc éolien Rentel (42 mâts au large d'Ostende) est en construction, tandis que le Northerpark est prévu pour l'an prochain, avant le Seastar et le Mermaid. Si ces projets se terminent comme prévu avant 2022, la quasi totalité des concessions auront ainsi abouti."La Mer du Nord jour un rôle crucial dans la transition énergétique. Les prix sur le marché international sont en train de chuter et en Belgique, nous payons maintenant 5 milliards d'euros de soutien en moins pour la même quantité d'énergie verte produite en Mer du Nord", a commenté M. De Backer (Open Vld).Il espère donc pouvoir ouvrir le plan d'aménagement à de nouveaux espaces éoliens, ce dont profiteront non seulement des milliers de ménages, mais aussi le secteur industriel belge, fait-il valoir. "L'énergie renouvelable à prix abordable, c'est l'avenir", selon M. De Backer.
Lire l'article sur : rtbf.be
>> 21/03/18 : Nouveaux espaces envisagés pour des éoliennes en Mer du Nord
Le groupe Adams, basé à St Vith, dans la région de Liège en Belgique, dispose de trois nouveaux dispositifs de pointe Goldhofer pour le transport des pales de rotor d’éoliennes.Actuellement, la flotte du spécialiste belge du transport comprend plus d’une centaine de lignes d’essieux ainsi qu’une vaste gamme d’accessoires fournies par Goldhofer. Récemment encore, Adams a décidé de commander pas moins de 3 nouveaux dispositifs FSH 10, nouvellement lancés sur le marché. "Les pales de rotor pour l’industrie éolienne sont une cargaison quotidienne. Le FSH est une solution de transport efficace offrant des temps de transport beaucoup plus courts", explique Peter Adams, fondateur et directeur général de la société.
Lire l'article sur : constructioncayola.com
>> En Belgique, Adams a le vent en poupe
Plutôt que de vouloir à toute force relancer l’éolien, même dans des conditions financières plus satisfaisantes, il serait préférable de l’abandonner purement et simplement. Car ce mode de production restera cher et peu efficace eu égard au fait qu’il est par nature aléatoire et intermittent en fonction du vent, exigeant de ce fait, tant que l’électricité ne sait pas être stockée, le maintien en activité de centrales thermiques traditionnelles pour permettre de répondre en tout temps aux besoins des consommateurs. Ce faisant, ce mode de production n’atténue guère la pollution atmosphérique, ainsi que l’exemple allemand le démontre, tout en dégradant les paysages et ajoutant de nouveaux risques environnementaux au voisinage. Désormais, les progrès technologiques (de l'éolien offshore), tant au niveau des machines que des réseaux, permettent de produire de l’électricité éolienne quasiment sans subvention. C’est ce que font nos voisins du nord notamment. Le prix du mgwh va être réduit sur le marché à un niveau de 40 à 50 € quand l’Etat s’est engagé à le faire acheter, pendant 20 ans, à un montant proche de 200€ au détriment du consommateur et du contribuable.
Lire l'article sur : irefeurope.org
>> Son de cloche libéral
La section législation du Conseil d'Etat tire la sonnette d'alarme dans un récent avis, se disant incapable d'encore exercer correctement son rôle, notamment face à l'accumulation de lois fourre-tout, imprécises, erronées, peu transparentes, à examiner dans un délai limité. Elle met en garde pour la sécurité juridique, singulièrement en matière fiscale, où ces textes sont légion.
Lire l'article sur : rtbf.be
>> Le Conseil d'Etat tire la sonnette d'alarme: les projets de loi sont mal préparés
Tous les gouvernements en ont rêvé, mais celui d’Emmanuel Macron est en passe de le réussir, aidé en cela par une ministre de la Culture totalement absente sur tous les dossiers et qui ne s’oppose évidemment en rien à ce qui se prépare. Il s’agit, purement et simplement, de supprimer le recours aux tribunaux administratifs pour les associations et les riverains voulant s’opposer aux projets d’installation d’éoliennes, ouvrant ainsi grand la possibilité de couvrir le pays entier de ces engins destructeurs du patrimoine, dangereux pour les oiseaux et pour les humains (les études inquiétantes à ce sujet se multiplient), extrêmement coûteux pour les finances publiques, vecteurs reconnus de corruption et, pour couronner le tout, inefficaces puisque l’impossibilité de stocker l’électricité rend nécessaire d’utiliser des centrales à charbon ou nucléaires pour suppléer les périodes très nombreuses et très longues pendant lesquelles la production est insuffisante. Résultat : le pays où il y a pratiquement le plus d’éoliennes, l’Allemagne, est un des plus pollueurs d’Europe. Même s’il est évident que les centrales nucléaires devront être, à terme, remplacées par autre chose, la France ferait mieux de développer la recherche pour trouver de vraies énergies de substitution plutôt que de multiplier les éoliennes qui ne servent à rien, ou à pas grand-chose.
Lire l'article sur : latribunedelart.com
>> Une justice d’exception pour les éoliennes
Ce site indique les principaux coopérateurs d'éoliennes citoyennes.
Le lien vers le site : ventsdusud.be
>> Ce site indique les principaux coopérateurs d'éoliennes citoyennes
Rappel
En Suisse, la planification et l’autorisation d’installations éoliennes incombent aux cantons. La Conception énergieéolienne adoptée le 28 juin 2017 est l’outil de la Confédération à respecter en matière d’aménagement du territoire. Sur la"Carte de base de la Confédération concernant les principales zones à potentiel éolien" figurant dans ladite conception, ladistance retenue entre les installations éoliennes et les zones à bâtir est de 300 à 500 mètres.A ce jour, il n’existe donc aucune base légale fixant les distances minimales entre les éoliennes et les zones habitées. Lesautorités compétentes se fondent sur des recommandations d’organisations spécialisées, qui représentent en même tempsles intérêts de la branche. Ces recommandations remontent à une époque où les installations éoliennes industrielles nedépassaient pas 100 mètres de hauteur pour un diamètre de rotor de 50 mètres au maximum. Les éoliennes d’aujourd’huidépassent largement 150 mètres de hauteur totale et le développement d’installations encore plus grandes soit plusde 200 mètres de hauteur, n’est plus qu’une question de temps.Il ressort des indications techniques des constructeurs d’éoliennes.
Lire l'article sur : publidoc.vd.ch
>> RÉPONSE DU CONSEIL D'ETAT à l'interpellation Yvan Pahud – Par mesure de précaution, le Canton de Vaud va-t-il suivre l’exemple du Canton de Thurgovie et supprimer la planification des parcs éoliens ?
Cette expression résonne aussi douloureusement aux oreilles de ceux qui sont confrontés à la réalité de l’éolien. Parce qu’on sait bien qu’après les 15 années lucratives de certificats verts qu’elles auront générées, les éoliennes seront laissées à leur triste sort : la friche industrielle.Et ce ne sont pas les maigres 50.000 euros de garantie provisionnés par les habiles promoteurs qui louent le terrain qui régleront le problème du démontage en temps voulu. Cette opération fastidieuse, dont le coût est évalué à plus de 400.000 euros l’unité, ne sera pas à la portée des nombreux propriétaires qui pourraient hériter des éoliennes implantées sur leurs terres, contre leur gré.Parce que quand les éoliennes auront fini d’être subsidiées et qu’elles ne seront donc plus rentables, leurs promoteurs les moins scrupuleux auront déserté le terrain. Par le jeu des cessions, des fusions et autres opérations comptables permises par la loi, certains se seront mis en faillite, d’autres auront été intégrés à des structures multinationales « hors sol » et surtout hors de portée.Le revenu annuel des terrains loués par les propriétaires (parfois ce sont les communes) avoisine les 10.000 euros. Soit 150.000 euros sur 15 ans. Le jeu en vaut-il la chandelle?Les géants industriels qui criblent les paysages wallons d’éoliennes sont rarement des associations sans but lucratif luttant pour la sauvegarde de la planète. Ne soyons pas naïfs...
Lire l'article sur : arte.tv
>> OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE
Pour boucler le financement des trois derniers parcs éoliens programmés en mer du Nord, il faut un cadre régulatoire déterminant le niveau de soutien accordé aux infrastructures. Le temps presse, mais l'arrêté royale n'est toujours pas rédigé...Le 27 octobre dernier, après des discussions difficiles, le gouvernement fédéral annonçait un accord sur le niveau de soutien accordé aux trois derniers parcs éoliens programmés en mer du Nord, Northwester 2, Seastar et Mermaid. Le gouvernement acceptait de leur garantir un prix de 79 euros par MWh produit, prix de l’électricité comprise, pendant 16 ans. Soit un soutien total estimé à 2,2 milliards d’euros, qui représente une économie de près de 3 milliards d’euros par lechrapport au régime accordé aux deux parcs précédents, Rentel et Norther, et une économie de 3,9 milliards d’euros par rapport au système de soutien en vigueur sous la précédente législature.
Lire l'article sur : lecho.be
>> Toujours pas de cadre légal pour les trois derniers parcs éoliens en mer
Lire le pdf :
>> Toujours_pas_de_cadre_légal_pour_les_trois_derniers_parcs_éoliens_en_mer.pdf
Promoteurs et investisseurs doivent se rendre à l’évidence: les résultats des éoliennes installées sur le parc de Hondelange (Messancy) ne sont pas aussi rentables que prévu. «Le rendement venteux est de l’ordre de -15% par rapport aux estimations», explique Claudy Wolff qui précise que le vent est très aléatoire et qu’il n’existe pas de formule mathématique.Et, est-ce pour « envisager des projets ailleurs dans les pays financés par la cession de ses parts» ou pour ce manque de rentabilité que BEE SA (Mechelen) veut se séparer de ses deux éoliennes?
Lire l'article sur : lavenir.net
>> Messancy - parc éolien pas aussi rentable que prévu pour la commune. Tel est pris qui croyait prendre ...
L’Europe voit un risque dans chaque opportunité tandis qu’émerge un monde nouveau (Chine, Inde,…) qui décèle une opportunité dans chaque risque. Ainsi s’éteignent les civilisations, anesthésiées par la facilité et le confort hérités des générations qui se sont battues non seulement pour leur liberté, mais aussi pour produire une énergie source de vie et de richesses. Elles ne croient plus au progrès, elles jouissent avec précaution de leurs acquis. “ Iln’y a qu’une fatalité, celle des peuples qui n’ont plus assez de forces pour se tenir debout et qui se couchent pour mourir. Le destin d’une nation se gagne chaque jour contre les causes internes et externes de destruction." (Charles de Gaulle)
Lire l'article sur : contrepoints.org
>> L’Europe riche et frileuse se précipite vers sa ruine en se prosternant devant les chimères des énergies renouvelables. Par Michel Gay et Jean-Pierre Riou.
C’est un sujet occulté, caché et presque tabou qui commence enfin à émerger doucement mais sûrement. Et qui pourrait se transformer en énorme scandale d’État si rien n’est fait pour y remédier. Le président Emmanuel Macron et son ministre de l’Écologie Nicolas Hulot s’apprêtent à mettre en œuvre la construction des sept centrales éoliennes offshore initiées par Nicolas Sarkozy et François Hollande, projets qui constitueraient la plus grande extorsion de fonds jamais connue en France au détriment des contribuables et consommateurs de l’électricité. Les chiffres sont désormais connus, et le Figaro, dans un article de Luc-Antoine Lenoir au titre évocateur, « Éoliennes en mer : des 2CV au prix de Rolls-Royce », avait dévoilé le scoop du prix de rachat de l’électricité aux différents promoteurs de centrales éoliennes offshore pour un montant colossal de 221 euros le mégawattheure, information jusque-là non contestée.
Lire l'article sur : economiematin .fr
>> Éoliennes offshore : Macron et Hulot cautionneront-ils le racket du siècle ?
Après des années d’inertie liée à des procédures administratives complexes et des recours en justice à répétition, ça bouge enfin du côté de la filière éolienne offshore française. Selon les dernières déclarations du directeur du projet de parc de Saint-Nazaire en Loire-Atlantique, EDF EN, filiale de l’énergéticien français dédiée aux énergies renouvelables, serait « prête » à lancer dès « cet été » la construction du premier parc éolien en mer français, une fois le dernier contentieux juridique définitivement réglé.
Lire l'artice sur :
>> Éolien en mer : le premier parc français bientôt en construction ?
Les États membres et la Commission ne lient pas assez énergies renouvelables et développement rural, estime la Cour des comptes, qui voudrait que les besoins locaux soient mieux pris en compte. Un rapport de la Cour des comptes européenne (CCE) prévient que l’UE devrait davantage lier politiques des énergies renouvelables et développement rural. Alors que les institutions commencent leurs discussions sur la modification des règles d’énergie post-2020, les auditeurs insistent sur le potentiel inexploité dans le cadre législatif actuel.
Lire l'article sur : euractiv.fr
>> La Cour des Compte veut plus de cohérence entre développement rural et renouvelables
Le groupe américain investit 165 millions d’euros dans l’Haliade-X, un nouveau modèle en mer de 260 m de haut et 50 % plus puissant que ses concurrents.
Lire l'article sur : lemonde.fr
>> General Electric va développer une éolienne géante en France